Série "SharePoint et la Power Platform"//EP4: SharePoint et Power BI
Dans ce 4e billet, le lecteur renoue pleinement avec les sections No Code et Low Code qui ont structuré les deux premiers chapitres du livre consacrées à Power Apps et à Power Automate. En effet, Power Virtual Agents a de particulier que la création de chat bot peut se faire, au chapitre 3, en mode No Code et lorsqu'il s'agit d'étendre les capacités du canevas de conception, le concepteur de chat bot peut faire appel à un flux Power Automate.
Le chapitre 4 est consacré à Power BI, l'outil de conception de rapports et de tableaux de bord. Suivant la logique du livre, ce chapitre a été conçu pour qu'un Power User sache utiliser Power BI pour obtenir des informations d'analyse issues de données gérées sur SharePoint, en intégrant les différents outils à sa disposition et les différents plans de licence associés. La fonction SharePoint Exporter sur Excel n'étant pas toujours connu des utilisateurs, la conception de solution de reporting fait néanmoins partie des types de fonctionnalités qu'un Power User souhaitera mettre en œuvre dans une application Métier, bouclant ainsi la boucle applicative, j'agis sur les données avec Power Apps, j'automatise certaines actions avec Power Automate, j'automatise certaines séquences de conversation avec Power Automate et maintenant, avec Power BI, j'analyse les données pour réagir le plus rapidement possible.
Les extraits choisis vont refléter les différents passages du livre.
Une méthodologie de conception d'application pour créer un rapport ou un tableau de bord
Comme pour toute application, il est nécessaire de respecter un cadre méthodologique de conception que l'interface de Power BI rappelle, à savoir, se connecter aux données, nettoyer et traiter les données, concevoir les représentations visuelles puis publier
Extrait de la page 304
Créer une application de visualisation de données hébergées sur SharePoint
Dans le livre, je décris comment utiliser Power BI en mode No Code pour se connecter à notre source de données SharePoint, puis à nettoyer et transformer les données en information. Comme je l'ai écrit dans l'extrait précédent, cette étape est la plus conséquente en termes de temps : dans cette section du livre, on va retrouver la logique de structuration du contenu, à savoir une partie No-Code précédent la partie Low Code.
Extrait de la page 344
La partie Low Code de Power BI est très impressionnante car elle permet l'ajout de code suivant différents langages de développement et je me suis contenté de partager des bouts de code en DAX, le langage le plus apte à servir de langage d'initiation à destination d'un Power User.
Extrait de la page 353
Publier dans SharePoint, publier dans Power Apps, publier dans Teams
Enfin, des pas à pas précis concluent ce chapitre pour publier l'extension des analytiques que vous aurez produit depuis SharePoint, via la production dans Power BI Service jusqu'à la publication dans SharePoint, dans Power Apps ou dans Ms Teams.
Extrait de la page 328
Power BI est fait pour qu'un Power User ou un professionnel du traitement de la donnée puissent "faire parler" les données, qu'elles soient hébergées sur Excel, SharePoint ou Dataverse, avec un accent particulier mis sur l'apprentissage du DAX.
Power BI est vraiment une pleine réussite, qui justifie pleinement une table des matières et un index détaillés.
Extrait de la table des matières
Extrait de l'index
Dans le dernier billet, je vous partagerai des éléments de la conclusion du livre.
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